Bompas

Un grand village dans l'environnement de Perpignan.

Village dynamique proche de Perpignan, Bompas a su prendre le virage de la modernité en construisant des infrastructures modernes et fiables, en investissant dans la ville et en multipliant les services au public.

Non, il n’y a pas grand-chose à redire à Bompas : c’est un très bon endroit où vivre !

Village dynamique proche de Perpignan, Bompas a su prendre le virage de la modernité en construisant des infrastructures modernes et fiables, en investissant dans la ville et en multipliant les services au public.

Non, il n’y a pas grand-chose à redire à Bompas : c’est un très bon endroit où vivre !

Bompas est une jolie ville de la périphérie de Perpignan, au nord-est. À l'instar de Cabestany au sud ou de Saint-Estève à l'ouest, Bompas est la ville de moyenne importance située au nord de la préfecture des Pyrénées-Orientales. Elle partage avec les deux autres villes citées une certaine beauté : les rues sont plutôt propres, les parcs publics sont bien entretenus, qu'ils soient grands ou petits, et les maisons individuelles ou petits immeubles qui s'y trouvent sont également soignés. L'ensemble de la ville est cohérent, agréable à traverser, agréable à vivre, et les activités sociales comme économiques y sont plutôt complètes. Bompas mérite donc globalement d'être connue. Pourtant, ce n'a pas toujours été le cas.


Le village vs les lotissements

Bompas était un village comme tous ses voisins jusque dans les années 70. À cette époque, la municipalité a misé sur l'accueil de la population travaillant à Perpignan, mais ne voulant pas y vivre. D'énormes lotissements sont venus supprimer les champs maraîchers constituant ce que les habitants ont appelé "la banlieue", un terme franchement pompeux mais courant à l'époque. Depuis les années 80, son expansion n'a pas cessé et, vu que le territoire de la commune est petit, il n'y a quasiment plus de terrains à bâtir. Enfin, presque plus.

Durant les années 80, Bompas perdait en réputation. Elle avait une image de ville-dortoir, sans activité. Les années 90 ont réveillé tout cela en multipliant les associations et les événements (la fête de l'escargot date de cette époque).


Bompas dynamique

Aujourd'hui, le village poursuit sa dynamique. Deux anciennes écoles ont été rasées puis reconstruites, tout le centre du village a été refait : trottoirs larges, entrées fleuries. À ce sujet, Bompas a reçu 2 étoiles en tant que "Village de France fleuri". Les lotissements anciens n'ont pas été laissés tomber comme cela arrive dans certains villages. Ici, au contraire, l'entretien est méticuleux, les trottoirs sont réparés si nécessaire, les espaces verts sont entretenus. De nouveaux lotissements sont venus s'ajouter à ceux existants, comme celui de la Grange, au nord, ou tout l'ensemble à l'est de la ville, en direction de Villelongue : ici, ce sont pas moins de 6 tranches de lotissements qui sont en cours de travaux, peu à peu.

Concernant les événements habituels, il faut savoir qu'à la mi-juillet a lieu la fête de l'escargot. Initialement, le village était connu pour ses oignons, mais son expansion ayant supprimé jusqu'au dernier lopin de terre, la mairie s'est inventée une nouvelle mascotte, et c'est ainsi qu'est née cette idée que les escargots, c'est à Bompas qu'on les mange. Durant 3 jours, la cargolade (escargots grillés sur la braise, accompagnés de viande et d'aïoli) est servie à des milliers de participants. Des jeux et animations (bals les soirs) complètent les journées, et la fête se termine invariablement par un magnifique feu d'artifice.

Mais on ne peut pas réduire Bompas à sa fête de l'escargot. La ville est constamment en train de préparer des événements, et il n'est pas rare que la salle d'exposition soit en cours d'utilisation. La vie sociale est également particulièrement riche, avec un grand nombre d'associations. D'ailleurs, le forum des associations de Bompas est vaste. On y trouve beaucoup d'associations de styles différents, évoluant dans des domaines variés : social, culturel, patriotique, sportif, etc. Aujourd'hui, les tireurs à l'arc et les athlètes du village ont atteint le niveau national, les arts martiaux le niveau international (le club de Nanbudo est dirigé par un ancien champion du monde — qui en a formé un autre —, celui de Kung Fu est un international).

Au point de vue des équipements, Bompas a vu grand, mais assez récemment. On devait reconnaître son défaut d'un certain manque d'investissement à ce sujet jusque dans les années 2010. La crèche a ouvert assez tardivement par rapport à d'autres villages comparables, ainsi qu'un RAM. Pour les sports, si la ville est équipée correctement en terrains de tennis et de foot/rugby, il manque cruellement un gymnase à sa hauteur. Celui existant est vraiment vieux, il a été construit dans les années 90 dans les anciennes caves coopératives, et il lui manque les équipements de base. Certes, la ville possède un magnifique gymnase, mais c'est un gymnase d'athlétisme, impossible à utiliser en tant que terrain de sport d'équipe. Par contre, la simple présence d'un gymnase d'athlétisme met en avant la volonté de promouvoir ce sport à Bompas. De nombreuses manifestations y sont organisées, comme le forum des associations justement.


Le parc des sports et des loisirs

Lorsque vous passez à Bompas, il ne faut pas louper le parc des sports et des loisirs, vaste ensemble verdoyant comprenant une pièce d'eau, un manège, un zoo et toutes sortes de terrains (foot/rugby, pétanque, basket, vélocross, skate-board). De plus, il est à côté des terrains de sport, ce qui en fait le site idéal pour la pratique sportive ou les balades avec les enfants. C'est un lieu populaire, agréable, où le respect du site est important. Peu de dégradations y sont perpétrées, et c'est bien agréable de s'y promener.

Le site commence par un petit lac au centre duquel se trouve une petite fontaine, en fait une machine purement technique pour réoxygéner l'eau. Juste devant vous, il y a 3 statues représentant trois dauphins. S'ils sont assez curieux aux premiers abords, il faut savoir qu'ils étaient autrefois, jusque dans les années 90, place des Dauphins. Elle était près du monument aux morts, là où se garent toutes les voitures. Certains s'en souviennent encore.

Le parc offre une grande esplanade permettant aux enfants de faire du vélo en sécurité, esplanade qui longe un parc pour enfants, une piste de skate-board et de roller, et un terrain de basket. Un peu plus loin, il y a une scène et ses gradins ; c'est là que se déroulent les spectacles durant les fêtes. Juste à côté, il y a deux terrains de football, et près du lac un zoo. Oui, Bompas a son propre zoo !

C'est petit bien sûr, mais les enfants peuvent y voir des animaux de la ferme pour la plupart : poules, chèvres, vaches, moutons, paons, etc. Il y a possibilité d'acheter des graines pour donner aux animaux. Le site propose aussi un petit manège.

À l'extérieur du parc, il y a des pistes de tir à l'arc, un terrain de rugby et le tennis-club.


Patrimoine, curiosités à voir sur place


Bompas est une ville dont le développement est relativement récent. Jusqu’aux années 1960-1970, il ne s’agissait encore que d’un village agricole, et l’on ne s’attend pas forcément à y trouver des vestiges anciens. Pourtant, on y découvre quelques éléments de patrimoine intéressants.


Eglise St Etienne

L'église paroissiale

L'église paroissiale

L’église paroissiale de Bompas est consacrée à Saint Étienne. Elle se trouve au centre de la ville. Son parvis est orné d’un joli décor mural, agrémenté d’un calvaire. À droite de l’église se trouve le presbytère.

Cette église date de 1865 : elle est venue remplacer l’ancienne église romane qui avait été édifiée durant le bas Moyen Âge. Elle renferme plusieurs retables dédiés à la Vierge et au Christ (XVIIIe siècle), ainsi qu’aux saintes Rufine et Juste (XVIIe siècle). On y trouve également des bustes-reliquaires du XVIe siècle, ainsi que plusieurs statues et toiles des XVIIe et XVIIIe siècles.

L’édifice lui-même est de style classique : il ressemble aux autres églises de la région, avec une nef unique, haute, et des chapelles latérales.


Le fort et la commanderie templière

Le fort et la commanderie templière

Le fort et la commanderie templière

À Bompas, lorsqu’on demande où se trouve le fort, les habitants comprennent immédiatement de quoi il s’agit et vous dirigent vers le cœur de la vieille ville, dans les rues étroites. Là se trouve la place du Fort, au centre de laquelle trône un magnifique platane. Du côté nord de la place, on peut voir une porte médiévale assez simple : c’est la porte du fort.

Le fort n’est ni plus ni moins que l’ancien château de Bompas, la place forte que tout village possédait autrefois pour protéger sa population. Ce château a complètement disparu de nos jours, mais la porte du fort en conserve le souvenir.

Si l’on observe les maisons qui entourent le centre, on remarque deux habitations aux angles arrondis : il s’agissait autrefois d’anciennes tours. Elles faisaient partie de la commanderie des Templiers et datent de 1172. À l’époque, une commanderie était un domaine agricole placé sous l’autorité d’une structure plus importante. Les Templiers étaient, au XIIe siècle, l’ordre le plus influent du Roussillon ; leurs principales commanderies se trouvaient au Mas Deu, près de Trouillas (dont le territoire conserve encore les vestiges). Bompas, comme d’autres, était un domaine agricole qui leur appartenait, d’où la présence de bâtiments imposants, solides et équipés de moyens de défense comme ces deux tours. Il ne fait guère de doute qu’il s’agissait aussi du château proprement dit, peut-être remanié par la suite.


Le couvent

Le couvent

Le couvent

Comme plusieurs autres villages des alentours, Bompas possédait autrefois son propre couvent. Il s’agit ici d’un bâtiment solide, construit en galets de rivière, composé de trois niveaux et doté d’une jolie tour. La cour intérieure abrite un jardin agréable. Aujourd’hui, le site est une propriété privée et son accès est interdit.


Saint Sauveur de Canomals

Saint Sauveur de Canomals

Saint Sauveur de Canomals

Canomals, un village médiéval, a cessé d’exister dès le Moyen Âge, mais son souvenir est préservé aujourd’hui par la ferme de Sant Salvador de Canomals, située sur le territoire de la commune de Bompas. Une théorie peu étayée avance que le nom Canomals dériverait de Canibus Malis, mentionné en 1193, faisant allusion à Malo Passu (« Mauvais passage »), l’ancien nom supposé de Bompas. Mais comme on sait que ce « Mauvais pas » est une invention, Joan Coromines propose une autre explication, suggérant que Canomals, ou Canemals (une ancienne forme également attestée), dérive du mot catalan médiéval et actuel cànem, désignant les plantations de chanvre, sans rapport avec les Canibus précédemment mentionnés.

Canomals est mentionné pour la première fois en 981 dans un document du roi Lothaire Ier en faveur du monastère de Saint-Génis-des-Fontaines. Le village a porté plusieurs noms au fil du temps : villa Canesmalos, villa Canamals, Caramals, villae de Canomals, Canibus Malis. Il était situé sur la voie Domitienne, l’ancienne route romaine traversant le Roussillon. Le village possédait une église avec une cellera entourée d’un fossé, mentionnée en 1203. Cependant, le village avait disparu en 1255, lorsque des moines cisterciens envisagèrent d’y construire une nouvelle colonie, projet qui ne fut jamais réalisé. Des vestiges archéologiques ont été découverts aux abords de l’actuel Mas Sant Salvador, témoignant de l’occupation continue de la zone depuis l’époque romaine jusqu’au Moyen Âge tardif. On y a trouvé des fondations de murs et des fragments de céramique, ainsi que de possibles vestiges d’un ancien pont à l’ouest du Mas Sant Salvador.

L’église de Sant Salvador de Canomals, consacrée en 1143, était déjà en ruines au début du XXe siècle, selon Montsalvatje.


Outre ces éléments, Bompas possède aussi un calvaire à l’entrée du cimetière, ainsi qu’un monument aux morts moderne qui fait face à un trompe-l’œil rappelant la dureté de la Première Guerre mondiale.


Histoire

La plaine du Roussillon n'a pas laissé de traces de la période préhistorique, sa géologie marécageuse ne le permettant pas. Mais il ne faut pas pour autant remonter au Moyen Âge pour trouver des traces d’occupation du site. Voyez la légende du trésor de Bompas ci-dessous.

Cette occupation n’avait cependant aucun lien avec le village que nous connaissons aujourd’hui. Il faut attendre le bas Moyen Âge pour trouver une trace d’un lieu-dit nommé Mal-Pas, "le mauvais pas" (à traduire par "le mauvais lieu"). Ce lieu appartenait initialement aux Frères pontifes d'Avignon. Contrairement à ce que pensent certains, il ne fut pas transféré sous la gouverne des Templiers. En effet, l’église Saint-Étienne, souvent mentionnée en lien avec les Templiers, était une chapelle située au sud de Perpignan, plus proche du Mas Deu.

La région se sécurisant peu à peu, Mal-Pas devint Bon-Pas, puis Bompas (orthographe officielle depuis 1804). Curieusement, la première carte espagnole du Roussillon désignait le château de l’agglomération sous le nom de "Bopas Castillo Antiguo", sans que l’on sache pourquoi.


Le trésor de Bompas

Qui a déjà entendu parler de la légende du trésor de Bompas ? En réalité, il ne s’agit pas d’une légende, mais bien d’un fait réel.

Nous sommes en 1910, le 23 décembre. Ce jour-là, M. Banet, agriculteur à Bompas, part travailler ses vignes sur le territoire de Claira. Il fait froid en ce mois de décembre, la terre est dure à la pioche. Soudain, il frappe un objet en céramique qui se brise. En dégageant les morceaux, il découvre 511 pièces gauloises et 13 pièces romaines !

Informant son entourage, il devient rapidement une curiosité locale. À tel point que, lassé, il s’interdit de reparler du trésor. Peu à peu, les questions s’arrêtèrent et le butin fut oublié, donnant naissance à une légende. Mais en 1998, le trésor refait surface, légèrement amoindri. Les descendants de M. Banet le vendent à la mairie de Perpignan, qui l’expertise. Il s’agit de pièces datées de 122 et 77 av. J.-C., c’est-à-dire entre l’invasion romaine de la région et le passage des troupes romaines allant envahir l’Espagne. Notons que le trésor fut trouvé à moins de 200 m de la Via Domitia.



Informations techniques

Nom Bompas Nom catalan Bompàs Code commune 66021
Canton Perpignan-2 Arrondissement Prades EPCI Perpignan Méditerranée Métropole
Région Salanque Altitude 20 m Coord. GPS 42.731386 Est / 2.934018 Nord
Superficie 6 km2 Population 7619 h. Code postal 66430
Gentillé Bompassencqs, Bompassencques

Etymologie

La légende veut que des brigands s'installaient sous le pont de la Basse pour détrousser les voyageurs, ce qui a qualifié le lieu de "mauvais pas" ("mau pas" en catalan). Lorsque la région fut plus sûre, le mauvais pas ne le fut plus et on nomma le lieu "bon pas". Cette explication, très connue dans la région, ne tient pas la route : il s'agit bel et bien d'une légende.

En effet, même s'il est probablement vrai que des détrousseurs aient pu attendre les voyageurs sous ce pont, il est plus vraisemblable que la Basse, la rivière locale, était traversée ici dans de mauvaises conditions, d'où le "mauvais pas". La construction de ce pont, relativement récente (après le XVe siècle), aurait alors sécurisé le passage, ce qui expliquerait plus facilement le changement de nom du lieu.

Vous croyez cette explication ? Perdu !

Le vrai sens du mot "Bompas" vient du mot "Mal", qui désigne un long piquet planté le long d'un chemin difficile. Chaque piquet pouvait être relié par une corde, facilitant le passage. On retrouve ce mot dans le "Puigmal" (le pic assorti de "Mals") ou Matemale (la forêt parsemée de "Mals"). Le nom du lieu était alors "Mal-Pas", qui signifie donc "Le lieu où le passage est protégé par des pieux". Au XIXe siècle, les noms des lieux ont été francisés pour satisfaire la volonté des dirigeants français d'uniformiser le territoire national. Une grande partie des noms de villes catalanes ont perdu leurs origines. Francisé, "Mal-Pas" avait une connotation négative car l'origine du nom avait été perdue, et on a donc francisé en "Bom-pas", rejoignant la première étymologie donnée ci-dessus. Mais c'est bien une erreur de l'histoire, car d'une part la francisation a transformé un endroit sécurisé (protégé par des pieux) en un danger (mauvais pas), et d'autre part, si ça avait réellement été la transformation d'un "mauvais pas" en "bon pas", en catalan on aurait dit "mau pas" et non "mal pas"...


Héraldique

Blason Bompas

Expression héraldique

De gueules à l'écusson d'azur chargé d'un pont voûté d'argent, maçonné de sable, sur une rivière de sinople, en pointe, accompagné en chef à dextre de trois épis empoignés d'or et à senestre d'une grappe de raisin feuillée d'une pièce du même.

Description

Ce blason est relativement complexe, comme c'est souvent le cas pour les blasons plus récents. Examinons son expression héraldique pour la comprendre dans les moindres détails. "De gueule" signifie "Rouge", et comme il apparaît en tête de la description, cela désigne un blason unicolore. L'écusson central est "d'azur" (qui représente la couleur bleue) et il est "chargé" (c'est-à-dire qu'il contient) un pont voûté "d'argent" (blanc), "maçonné" (indiquant que les joints entre les pierres sont visibles) de "sable" (couleur noire), le tout posé sur une rivière "de sinople" (verte), "en pointe" (ce qui signifie que l'écusson est orienté vers le bas et se rétrécit, formant ainsi un triangle).

L'écusson est accompagné "en chef" (c'est-à-dire en haut) de deux éléments : l'un à "dextre" (à droite), et l'autre à "senestre" (à gauche). Les trois épis à "dextre" sont "empoignés" (liés ensemble) et qualifiés "d'or" (couleur jaune). La grappe de raisin, accompagnée de sa feuille, est "du même", expression qui fait référence à la couleur du dernier élément mentionné, ici l'or (jaune).

Explications

Le blason de Bompas n'a pas une origine très ancienne. L'élément principal de ce blason est le pont, un symbole caractéristique de la ville. On y retrouve également un épi de blé et une grappe de raisin, rappelant la vocation céréalière et viticole de la région. Cependant, cette vocation a largement disparu au fil du temps.

Le blason est souvent accompagné d'une banderole portant la locution "A mau pas, bon pas" ("à mauvais pas, bon pas"), qui est à l'origine du nom de la ville de "Bompas". Ce nom ne vient pas de "mau-pas" (le mauvais pas), mais de "mal-pas", désignant un passage équipé de "mal" (des pieux enfoncés dans la rivière pour faciliter le passage).



Situation et accès

Bompas est une ville située à quelques kilomètres de Perpignan, au nord, de l'autre côté de la Têt. Bien qu'elle soit dans la banlieue de la préfecture, elle ne la touche pas, les deux villes étant physiquement séparées. Elle se trouve dans la Salanque, la partie nord de la plaine du Roussillon.

Pour s'y rendre, plusieurs routes sont possibles. Par la route de Canet, il suffit de prendre la première sortie "Bompas", qui mène directement à la zone industrielle de la ville. Il y a aussi la route du Vernet, une grande ligne droite reliant la ville aux quartiers nord de Perpignan. Par le nord, une autre route conduit à Pia, en passant près du gymnase d'athlétisme, ou à Claira, du côté du cimetière. Enfin, vers l'est, il y a la route menant à Torreilles ou Villelongue-de-la-Salanque.

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